Changement de tuiles Guerande

Vous avez des tuiles fissurées ? Prenez contact avec notre couvreur pour un changement de tuiles Guerande !

 

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changement de tuiles Guerande
Remplacement de tuiles à Guerande

Les tuiles constituent un matériau de couverture souvent retenu car elles existent en de nombreux coloris ce qui leur permet de satisfaire tous les goûts. De plus, elles sont particulièrement bien résistantes à toutes les intempéries et offrent une durée de vie optimale. Pour cela, il faut tout de même leur apporter un entretien régulier et effectuer tout changement de tuiles nécessaires lorsque l’une d’elles est dégradée. Notre entreprise de couverture à Guerande est en mesure de réaliser tout remplacement de tuiles.

L’usure du temps, une chute de branche, des intempéries trop violentes, une tempête de vent… peuvent être à l’origine de tuiles cassées ou qui se sont envolées. Dans les deux cas, cela rend le terrain propice aux infiltrations d’eau qui vont engendrer de l’humidité dans votre logement. Il est alors essentiel de procéder à tout changement de tuiles à Guerande rapidement. Avant tout, notre couvreur à Guerande commence par inspecter la toiture. Il commence par l’extérieur depuis le sol afin de repérer les tuiles qui présentent des défauts puis il se rend dans les combles ce qui lui permet de voir s’il y a une fuite éventuelle ce qui se traduit par la présence d’humidité dans les combles. Si rien n’est fait, elle va se propager davantage et envahir le logement, ce qui peut aller jusqu’à remettre en cause sa solidité et causer des problèmes de santé aux occupants.

 

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Notre couvreur à Guerande va donc examiner l’ensemble de la toiture avec rigueur pour bien repérer chaque tuile absente ou abîmée qui a besoin d’être remplacée. Pour cela, il va commencer par retirer celle qui est cassée en soulevant les deux tuiles qui couvrent celles à changer. Il positionne ensuite des cales sous celles-ci de façon à les maintenir surélevées. Après, en cas de tuile fixée sur la charpente, il scie le clou de fixation et effectue des mouvements de levier dans le but que les tenons se dégagent. Si la tuile n’est pas fixée sur la charpente, il a alors seulement à réaliser les mouvements de levier permettant de dégager la tuile. Il peut alors positionner la nouvelle entre les deux autres en vérifiant que la tuile dépasse du liteau et que les tenons s’emboîtent bien les uns aux autres. Il retire alors les cales et cloue la tuile si les autres présentes sur le toit le sont aussi. Chaque nouvelle tuile doit s’intégrer parfaitement dans sa rangée et à l’ensemble pour que tout l’ensemble soit solide et hermétique.

Changement de tuiles à Guerande

Notre couvreur à Guerande suit cette démarche pour chaque changement de tuiles nécessaire en procédant de haut en bas. Il est en mesure de réaliser ainsi une rénovation de toiture partielle en ne changeant de quelques tuiles. Et, si les dégâts sont importants ou que votre couverture est très ancienne est usée, il peut procéder à un changement de toit complet. Quelle que soit l’envergure de votre projet, notre entreprise de réparation de toiture à Guerande y répond alors n’hésitez pas à demander un devis !


Guérande

Guérande (prononcé /ge.ʁɑ̃d/) est une commune de l'ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique en Bretagne historique et appartenant à la région des Pays de la Loire. Sa partie urbaine occupe le sommet d'un coteau qui domine un territoire presque entièrement entouré d'eau, salée ou douce, dénommé presqu'île guérandaise. L'histoire de la commune elle-même est fortement marquée par la présence de marais salants qui ont fait sa richesse (commune du pays blanc).

La présence de l'Homme sur le territoire guérandais est attestée à partir du Néolithique moyen et il subsiste de nombreux vestiges, tels que des menhirs. Les premiers signes avérés de l'existence de la localité actuelle datent de la seconde moitié du IVe siècle. Le haut Moyen Âge est une période troublée par les dissensions entre Francs et Bretons — Guérande est alors bretonnante sous domination mérovingienne — puis par les invasions normandes. La première référence écrite connue du bourg de Guérande date de 854. Au XIVe siècle, la cité est entraînée dans la guerre de Succession de Bretagne qui oppose Jean de Montfort à Charles de Blois. Celle-ci s'achève par la signature à Guérande même du traité de 1365. À la fin du XVe siècle, la cité est le refuge pendant près d'un mois d'Anne de Bretagne et de sa cour qui fuient la peste qui sévit alors à Nantes. La duchesse va entretenir des liens privilégiés avec Guérande durant tout son règne. Pendant tout le Moyen Âge, le terrouer de Guérande conserve une prééminence judiciaire, militaire, religieuse et fiscale reconnue par le duché de Bretagne et l'évêché de Nantes.

L'époque contemporaine est marquée par l'affirmation du rôle économique et environnemental des marais salants, en crise récurrente depuis la Révolution. Outre la revalorisation des filières salicoles, l'intérêt touristique des marais se trouve amplifié par la création de zones de protection du patrimoine naturel. La localité demeure au XXIe siècle un centre économique dynamique de la presqu'île, augmentant son attractivité touristique par la mise en valeur de son riche patrimoine historique, qu'il soit architectural ou culturel, et naturel ; elle perpétue ainsi l'attirance remarquable, manifestée depuis le XIXe siècle, de la cité médiévale et des marais salants auprès des écrivains, peintres et, plus récemment, des réalisateurs cinématographiques.

Tuile

Une tuile .mw-parser-output .prononciation>a{background:url("//upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/8/8a/Loudspeaker.svg/11px-Loudspeaker.svg.png")center left no-repeat;padding-left:15px;font-size:smaller}Écouter est un élément de construction utilisé dans le bâtiment comme pièce de couverture de bâtiment et de chaperon de mur. Ce terme dérive du mot latin tegere qui signifie « couvrir ». La forme tuile est due à la métathèse du i de tuile. Le terme toit a la même origine[1]. Les tuiles sont généralement fabriquées dans des tuileries.

Les tuiles sont le plus souvent en terre cuite, quelquefois en béton de ciment voire autrefois en pierre (dans la Grèce antique, des temples furent couverts de tuiles en marbre, inventées selon Pausanias par un certain Byzès de Naxos, qui le premier tailla le marbre en forme de tuile[2]). Des tuiles de bronze doré couvraient la coupole et le fronton du Panthéon (Ier siècle av. J.-C.), aujourd'hui remplacées par des tuiles en terre cuite[3].

Il existe plusieurs types de tuiles, décrits ci-après. Les régions où l'argile est abondante en utilisent le plus (en plaine, à moins de 500 mètres d'altitude en général). Elles sont assez lourdes pour ne pas s'envoler facilement sur des pentes de toit faibles et peuvent être clouées ou fixées par crochets ou des vis sur des toits pentus. Seule la tuile plate mince fixée est facilement utilisée jusqu'à la verticale. Depuis peu apparaissent des tuiles solaires captant la chaleur ou produisant de l'électricité photovoltaïque.

Tuile canal

La tuile canal ou tuile creuse est une tuile traditionnelle dont l'aire d'extension primitive s'étend sur l'Europe méditerranéenne. Elle est hémi-tronconique et ne possède par elle-même aucun moyen de fixation. Elle est apparue au XIe siècle comme une adaptation de la tuile romaine, avec une pièce unique posée successivement en canal, puis en couvre-joint. À partir du XVIe siècle les Espagnols exportent leurs tuiles en Amérique latine puis les produisent localement.

À la fin du VIIe siècle av. J.-C., les Grecs couvrent leurs monuments avec de larges tuiles légèrement courbes ou plates avec des relevés latéraux, disposées à recouvrement, en lignes juxtaposées ; les joints étant couverts par des petits éléments angulaires ou courbes. Les Romains reprennent le principe avec la tegula et l'imbrex. Entre le Ve et le IXe siècle la maitrise technique est perdue. On ne produit plus que des imbrices dont la fabrication est la plus facile. Au XIe siècle les encoches d'emboitement tendent à disparaitre. Les pièces, aussi bien courantes que couvrantes, ont un petit bout qui se loge dans le gros bout de la pièce adjacente. Bientôt les courants et les couvrants sont indifférenciés. C'est la tuile canal. Cependant des courants à fond plat restent en usage dans la zone discontinue de Champagne-Lorraine jusqu'au début du XXe siècle[1].


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